L’université Ferhat Abbas de Sétif 1 (UFAS1)  a été classée premier établissement universitaire à l’échelon national par le Times Higher Education (THE) –  une revue spécialisée dans le classement  des universités au niveau mondial – dans son édition de septembre 2021. 

Pour la troisième année consécutive, l’université Ferhat Abbas de Sétif (Sétif 1) est arrivée en tête du classement des pôles universitaires à l’échelle nationale a indiqué dans un communiqué le service communication de l’université

Si l’établissement d’enseignement supérieur est l’incontestable champion en Algérie, il apparait en revanche dans « la catégorie 501-600 »  parmi plus de 1600 universités répertoriées à travers le monde.

Pour parvenir à ces résultats, le THE a basé son enquête selon 13 critères parmi lesquelles l’excellence académique, la recherche ou les témoignages (preuves et indices sur l’originalité des informations dans les recherches et les thèses scientifiques).

« Ce classement honorable de l’université de Setif 1 vient conforter sa place à l’échelle mondiale (132 e ) suivant le classement dans la catégorie « jeunes universités » (moins de 50 ans) rendu public en juin 2021 par le Times Higher Education (THE) », s’est félicité l’UFAS1.

Outre, l’aspect académique signe de la performance dans la formation et la recherche scientifique, l’université sétifienne met un point d’honneur «  à s’ouvrir sur l’environnement économique et contribuer au progrès technologique et au développement durable« , souligne la revue anglaise.

Créé en 2010, Times Higher Education est un établissement britannique dont le siège se trouve à Londres. Il publie chaque année des rapports classant les meilleures universités à travers le globe selon des critères académiques comme « la recherche scientifique, la qualité de l’enseignement et les relations avec l’environnement économique et social entre autres« , rappelle le vice-recteur de l’université Sétif1, Mohamed Hamidouche.

« Le THE possède une section spécialisée dans la présentation des informations et des problématiques liées à l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale« , a complété le chargé de la recherche scientifique de l’UFAS1.

Amale Hoummati