Le spectacle de chant, de musique et de conte, « Et si la Casbah m’était contée » – interprété par Lila Borsali – qui restitue le patrimoine oral de la vieille médina millénaire, a été présenté vendredi soir au Théâtre national algérien Mahieddine Bachtarzi (TNA).
Dans la pure tradition algéroise revisite, le spectacle – deux heures durant-revisite la culture de la ville à travers ses coutumes, ses usages et ses personnalités historiques au son de l’orchestre de la violoniste Leila El Kébir.
Dans le rôle du messager (El Mersoul) venant de Tlemcen pour écouter les contes de la Casbah, Lila Borsali donne la réplique à la conteuse « Lalla Aouaoueche » campée par Bensaid Aouaouèche qui puise dans ses récits dans le répertoire de la musique traditionnelle algérienne. Le Chaabi qui vaut la participation sur scène, dans la deuxième partie, d’Abdelkader Chaou tient ainsi une place importante dans le show.
Pour rappel « Et si la Casbah m’était contée » avait déjà été joué en mars dernier dans le cadre des premières Journées théâtrales dédiées à la vieille ville.
